Salut les amis,
Ma dernière ligne droite a été pleines d’obstacles. Je ne suis pas encore remise totalement, mais vous m’avez manqué, alors je reprend la plume pour rattraper mon retard dans mon calendrier de l’Avent. Aujourd’hui, vous aurez la chance d’avoir plusieurs petits posts pour vous partager mes souvenirs et mes traditions de Noël.
Cette période de l’année en général m’apporte toujours une bonne dose de bonne humeur, mon sourire ne s’égare jamais durant le mois de décembre même face aux difficultés et je reconnais que depuis l’année dernière, j’en ai connu des coups durs, mais la magie de l’Avent et de Noël me font toujours voir la vie en rose ou en blanc.
En ce deuxième jour de Décembre, je voulais vous parler d’une découverte que j’ai faite ici aux Etats Unis, la tradition du lutin aussi appelé Elf on the shelf.
En quoi consiste Elf on the shelf?
Cette tradition est tirée du livre écrit par Carol Aebersold et sa fille, Chanda Bell en 2005 : The Elf on the shelf : a Christmas tradition. Ce livre illustré raconte une histoire charmante sur la façon dont de charmants petits lutins assistent le Père Noël.
Tout de rouge vêtu, ces petits espions de notre ami le Père Noël font son apparition dans les maisons américaines après Thanksgiving (certain le font apparaitre dès Halloween!). Ces lutins de Noël servent d’yeux et d’oreilles au Père Noël, lui rendant compte du comportement des enfants, de qui a été méchant et gentil afin que ce dernier sache si les enfants méritent de recevoir des cadeaux sous le sapin de Noël. Ces petits elfes espiègles se cachent dans les maisons, s’engageant alors dans un jeu de cache-cache amusant, se livrant souvent à toutes sortes de manigances coquines d’elfes. Qu’il s’agisse de tapisser le sapin de Noël ou de dessiner des moustaches sur des photos de famille, les comportements coquins de ce lutin effronté ne sont qu’une façon fantaisiste d’apporter du plaisir et de l’excitation à l’approche de Noël.. Tous les soirs, il rentre au Pôle Nord pour faire le point sur la situation, et revient le matin, avant le lever des enfants, ce qui explique que chaque jour, ce drôle de petit lutin change de place pour mieux observer les petits bambins.
Il ne faut donc pas oublier de le déplacer tous les soirs quand les enfants sont couchés, où dans la matinée quand ils ne sont pas encore debouts. Un jour, il peut être dans la cuisine à vérifier qu’ils mangent bien leurs légumes, le lendemain il surveille que les devoirs sont faits, le surlendemain il s’assure que les enfants n’ouvrent pas plusieurs cases du calendrier de l’Avent d’un coup ou qu’ils se sont bien brossé les dents, le week-end il s’assure qu’ils ne se couchent pas trop tard, etc. L’important, c’est qu’ils ne voient pas les parents le déplacer, car cela briserait la magie.
Plusieurs interdits ont été instaurés autour de cette tradition afin de conserver cette magie de Noël. Les enfants ne doivent pas toucher l’elfe sur l’étagère, sans quoi il perdrait ses pouvoirs magiques ! Ils ne doivent pas non plus s’approcher du petit lutin pour lui raconter leurs petits secrets. Si, malgré les mises en garde, les enfants ne peuvent pas s’empêcher de lui faire un câlin, pas de panique : pour le soigner, il suffit de le saupoudrer d’un peu de poudre guérisseuse… De la cannelle !
Je trouve cela adorable de voir les parents s’arracher les cheveux pour balader le petit elfe dans toute la maison et ainsi obtenir un peu de calme et de paix jusqu’au jour J avec leurs petits garnements. Je me dis que si ce petit stratagème peut leur permettre de transformer leurs petits garnements en petits anges, pourquoi s’en priver!
J’attends avec impatience vos photos d’elfe et je publierai la meilleure sur ce blog.
Et nous ne pouvions pas nous quitter sans que j’occupe aussi vos oreilles. Quand je pense à la tradition de l’elfe de Noël, j’ai la chanson Winter Wonderland qui vient m’envahir le cerveau. Cette chanson écrite en 1934, par Felix Bernard, compositeur, et Richard B. Smith, parolier, a été enregistré par plus de 150 artistes différents au fil des ans, devenant un véritable standard. Elle est souvent considérée comme un chant de Noël bien que la fête ne soit jamais mentionnée.
L’histoire raconte que Smith, un indigène vivant à Honesdale en Pennsylvanie, aurait eu été inspiré dans l’écriture de cette chanson, après avoir vu le Central Park d’Honesdale recouvert de neige et les jeux des enfants dans ce parc enneigé, alors qu’il les regardait depuis la fenêtre de sa chambre du sanatorium de Scranton, en Pennsylvanie, où il était soigné pour sa tuberculose.
Certaines paroles de la version originale, dans laquelle on y mentionnait qu’un couple avait spontanément décidé de se marier, ont été considérées comme inadéquates pour les enfants. Il a donc fallu remplacer cette première version par une autre.
En outre, d’autres paroles faisant référence à Parsons Brown, un pasteur circulant de village en village pour célébrer des mariages, a également contribué à modifier la version originale. Cette tradition ne faisant plus partie de la scène culturelle américaine, le nom de Parsons Brown a été changé pour Circus Clow. Toutefois, certains musiciens se sont produits et ont enregistré la chanson en utilisant les deux strophes.
Louis Armstrong, Les Sœurs Andrews, Tony Bennet, The Carpenters, Ray Charles, Air Supply, Michael Bolton, Pat Boone, Billy Idol, Engelbert Humperdinck, Bing Crosby et Doris Day, ne sont que quelques-uns parmi tant d’autres à avoir interprété le fameux Winter Wonderland.
Traduite en français sous le titre de « Au royaume du bonhomme hiver », la chanson fut interprétée par de nombreux artistes, tels que Roch Voisine, Claude Valade, Tino Rossi, Fernand Gignac, Laurent Brunetti, Mitsou et Ginette Reno, pour ne nommer que ceux-ci.
Je ne peux pas vous laisser sans vous proposer l’interprétation par le groupe que j’adore, Pentatonix. Ils proposent une version en remix avec une chanson bien de circonstance, Be Happy
Avant de se quitter, Noël et ses grands froids sont l’occasion de faire quelques galipettes sous la couette pour raviver la flamme de son couple, mais aussi d’y mettre un peu de fantaisie comme l’elfe dans la maison.
Aujourd’hui, je vous invite à tester : La Montagne Magique. Cette position est une variante d’une position très classique, la levrette.
Cette position permet de sortir de la routine sans être une pratique trop osée ou trop physique. Elle est également une bonne alternative si vous n’aimez pas les positions dominantes. Variante de la levrette, la montagne magique est une position plus confortable.
La femme se met à genoux et pose son buste en appui sur une table basse, une chaise, une pile de coussins, un tas d’oreiller ou bien un canapé… Tout ce qui peut être confortable ! Le corps prend alors une forme de montagne et le dos se cambre naturellement. L’homme vient se coller à sa partenaire, son buste contre le dos, cuisses contre cuisses. La femme n’a plus qu’à écarter les jambes pour laisser son partenaire la pénétrer.
Je vous souhaite une bonne nuit à tous et surtout faites des folies de vos corps pour vous réchauffer.
On se retrouve très vite pour de nouvelles aventures…
xoxo